La chambre d'un démon ! [PV Leiko] -HENTAI-

Ça faisait trois jours que j’étais à Youth… C’était bien… Mais la Terre me manquait un peu… Lucy me manquait… J’étais dans « ma chambre », c’était bizarre… Un homme était venu me voir dehors pour me dire ça un jour, je ne le connaissais pas pourtant… Au moins j’avais un endroit pour dormir ! Le truc qui était cool dans cette chambre… Je pouvais regarder par la fenêtre et avoir une superbe vue sur ma moto ! On ne sait jamais ! Genko était allongé sur mon lit et me regardait d’un air beta comme pour me traiter d’idiot… J’ignorais et faisais les cent pas dans cette chambre avant de m’asseoir sur une chaise et détailler la situation à voix haute…

- Sanzo : Bon ! Je t’ai pourchassé… Eliminer et je me suis retrouvé ici ! Bordel ! Ce n’est pas logique ! Je ne comprends pas comment j’ai fait pour atterrir ici !
- Genko : Bon… Tu es officiellement un idiot…

Je regardais Genko et tira une grimace légèrement amusé ! Genko et moi on c’était assez rapproché pendant cette période… Je le trouvais assez « humain » pour un démon… J’en savais peu sur lui en fait ! Je le regardais et me rapprocha de lui pour lui demander :

- Sanzo : Au fait ! Tu es un démon, comment ça se fait que tu sois aussi humain ?
- Genko : Je suis peut-être un démon, certes, mais j’ai certainement tué moins de gens que toi alors que j’ai plus de 561 ans !
- Sanzo : Je tuais par obligation.
- Genko : Tu as quand même participé à ce qui a permis au démon d’envahir la terre.
- Sanzo : Tu tiens tant à ce que je dise « Je suis un monstre » ?
- Genko : TU es un monstre.
- Sanzo : JE suis un monstre… Mais j’ai été élevé comme ça… Je ne tiens plus vraiment à tuer, plus à protégé maintenant.
- Genko : Ok… Je n’sais pas pour toi… Mais moi j’m’ennuis comme un renard enfermé ici, je vais faire un tour !
- Sanzo : Tu pourras vérifié que la moto à rien ?
- Genko : Tu le sentiras quand elle aura quelque chose ! Bye !

Sans trop parler, le renard couru vers la porte et sortit en trombe à une vitesse assez rapide, normal pour un renard non ? Pff…Je regardais mes vêtements quelques secondes… Le style vestimentaire était assez similaire à celui de la Terre, donc j’ai pu m’acheter un jean et une chemise noire ! J’étais pied nu et mes cheveux étaient comme d’habitude en pagaille, je baillais quelques secondes avant de me lever et regarder par la fenêtre… C’était ennuyant… Peut-être qu’une ballade en moto serait le bienvenu… Mais pas pour l’instant ! Je voulais profiter un peu d’avoir un toit. Je souriais et regardais par la fenêtre cette ville, c’était bien la première ville que je voyais et qui n’était pas ravagé par la guerre… Elle était même très belle ! Une personne toqua à la porte et je me retournais pour regarder vers la porte et dire d'un ton assez simple :

- Rentrez !

Dix heures, le matin. Je me levai d'un air paresseux. Me dirigeai vers le frigo d'un pas endormi. Ah bah non. le frigo était vide depuis plusieurs jours, il fallait vraiment que j'aille faire les courses, moi. Je me rendis donc vers l'armoire, me servant un bol de céréales, puis je me préparai deux cafés - il me fallait au moins ça pour me réveiller - et je me pris à regarder dans la rue. Cet endroit dans lequel je vivais depuis toujours était vraiment sublime, et je n'avais même jamais pris le temps de l'observer.. Honte sur moi. Un bref bruit de sonnette m'interrompit dans mon observation. Le café était prêt. Je le bus assez rapidement, me brulant à moitié.
Ensuite, j'enfilai rapidement une tunique noire et des baskets assorties, juste assez pour aller faire les courses, quoi. d'un pas tranquille, j'allai dans le magasin, faisant quelques emplettes, saluant deux trois personnes au passage. "Salut, comment ça va ?Oh, très bien, et toi ? Nickel ! Bon, mon mari m'appelle, à plus !"... Dialogue on ne peut plus banal entre deux connaissances... "Mon mari m'appelle"... Comment pouvait-on laisser une amie pour un mari ? Cette notion de mariage m'ennuyait à un point... Sans doute était-ce parce que j'aimais les hommes, mais beaucoup trop pour pouvoir en choisir un.

De retour chez moi, enfin, dans ma chambre, plutôt, je décidai d'aller boire un verre avec...Quelqu'un. Je ne savais pas trop qui, puis appelai le premier numéro qui me tomba sous la main - comme toujours dans les cas où je ne savais pas qui appeler.

-"Allô ! Qui est à l'appareil ? Demanda la voix masculine qui avait décroché.
-Salut, c'est Leiko ! Ca te dirait d'allelr boire un verre, depuis le temps ?
-Euh, oui bien sûr, où ?
-Pourquoi pas à la discothèque ? On pourrait se faire une petite danse, aussi !
-OKay ! Pour... 13h, ça te va ?
-Pas de souvi ! A tout à l'heure!

Tût, tût, tût... Il avait raccroché. Bon. Il était déjà midi. Je me préparai en vitesse, me lavant avec délice, puis m'aspergeant de parfum délicat. Comme tenue, je choisis une simple tunique noire au dos nu, et des escarpins tout aussi simples. Simples, mais classe.
Je décidai de me maquiller un tout petit peu, à peine une touche de blanc sur les paupière, et du mascara.
Je me rendis d'un pas tranquille vers la discothèque, toujours cachée par mon énorme manteau noir. J'échangeai à peine deux mots avec le videur de garde - il était trop tôt, je ne le connaissais pas, celui-ci - et pénétrai dans l'ambiance animée de la discothèque.
J'échangeai très peu de paroles avec mon cavalier - je passai mon temps à boire, en fait. D'ailleurs, je bus un peu plus que de coutume.
Lorsque vint l'heure de rentrer, je me sentais un peu tituber, mais rien de trop grave. Les gens me regardaient d'un air étonné, surpris de voir une jeune fille tituber au beau milieu de l'après-midi.

Je rentrai dans le pensionnat, montai les escaliers jusqu'au deuxième étage.. Et c'est ici que je ne sus plus dans quelle direction aller. Droite ou gauche ? Je suivis mon instinct, tournant donc à gauche. Par réflexe, je frappai à la porte qui me semblait être celle de ma chambre. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'entendis un "Rentrez !" prononcé d'une voix douce.

Un peu hésitante, je me décidai à entrer, me trouvant ainsi face à un jeune homme beaucoup plus grand que moi, les cheveux d'un blond très clair, et de superbes yeux bleus, très clairs eux aussi.

-Euh, bonjour, je crois... Hum, je crois que je me suis trompée de chambre...

Ma voix n'était pas très sûre d'elle, elle reflétait parfaitement l'angoisse à peine dissimulée que je ressentais en ce moment. En plus, j'avais oublié mon manteau à la discothèque, je venais à peine de m'en rendre compte... J'observais d'un oeil vaguement intéressé sa chambre, je savais que s'il me venait l'occasion de le regarder dans les yeux, je me mettrais à rougir comme une pivoine? Faut-il être pas doué pour se tromper de chambre !

Je regardais la personne qui venait d’entrer… Une fille aux cheveux blonds… Assez petite comparé à moi après tout ! Elle disait qu’elle c’était trompé de chambre… Je soupirais et la détaillais du regard, elle n’avait pas l’air dangereuse… Je la regardais de ce regard froid que je lançais souvent aux inconnus… Je ne savais pas pourquoi elle était là… C’était écrit « Sanzo WATANABE » au-dessus de la porte après tout. Je soupirais encore une fois avant de faire un signe de la tête et ne put retenir un petit :

- Affirmatif.

Je l’avais dit d’un ton strict, froid et sans aucun appel. C’était limite si j’lui disais « Dégage tu m’fais perdre mon temps. ». Je regardais autour, il n’y avait presque rien sur mon bureau juste quelques babioles comme mes clés de moto, des papiers, des stylos et mes deux flingues… Je fis des gros yeux avant de prier qu’elle n’ait rien vu et couru limite pour me placer devant les deux pistolets histoire qu’elle ne les voit pas et soupira encore plus fort :

- Désolé si j’ai paru « brute », mais je n’ai pas l’habitude de parler à des gens en général.

Je me mordillais la lèvre et détournais le regard en glissant doucement les deux .55 pour ranger les dans un tiroir du bureau et une fois cela fini, je soupirais, j’étais enfin soulagé ! Je parti m’asseoir sur mon lit et regardais la fille avec un air interrogateur, je ne savais pas quoi faire dans ce genre de moment et fis simplement ce qui me passais par la tête. Je souriais et lui demandais :

- Comment tu te nommes ? Je me nomme pour ma part, Sanzo… Sanzo Watanabe ! Enchanté !

Je souriais un peu et m’allongeais sur le lit en regardant le plafond… Ce monde était si… vide ! Je ne savais pas quoi faire de mes journées après tout… Je m’étirais et avant de la regarder… Je plaçais mes mains à mon visage avant de les retirer et encore une fois, la regarder avec le sourire. Je souriais pour aucune raison, c’était comme ça, mais bon ! Je me relevais du lit et lui demandais :

- Humm, tu peux t’installer tu sais… Je sais qu’il n’y a presque rien, mais tu peux t’asseoir sur cette chaise ou le lit, ça ne me dérange pas.

Je regardais cette fille dans les yeux avant de retourner la chaise de mon bureau et m’asseoir dessus en la regardant droit dans les yeux… Youth était un endroit parsemé de gens bizarres… Je ricanais avant de prendre mes clés en main et les faire tourner autour de mon index. Une fois finis, je l’ai reposais et continuait de regarder droit dans les yeux la blonde aux yeux rouges devant moi. J’espérais qu’elle reste un peu, malgré que le fait d’avoir l’air du dernier des psychopathes.

Lorsque j'osai enfin lever les yeux vers l'inconnu - qui faisait bien une tête en plus que moi - il répondit à la question que j'avais involontairement par un "Affirmatif." assez froid, pour ne pas dire mauvais. D'ailleurs, j'esquissai deux ou trois pas vers la sortie de la chambre, par un instinct de survie enfoui très profondément en moi.
Gênée, je baissai le regard, tandis qu'il faisait quelques gestes de rangement. Il soupira une nouvelle fois, visiblement pas super content de s'être fait dérangé - en même temps, je n'aurais pas apprécié non plus, mais je m'étais trompée... "Désolé si j’ai paru « brute », mais je n’ai pas l’habitude de parler à des gens en général."... C'était donc ça ! Enfin, au moins il s'était excusé, alors qu'il n'aurait même pas eu besoin de le faire puisque c'était moi l'intrue, ici.

Il s'installa sur son lit, un petit air interrogateur dans le regard. D'un côté, on aurait dit qu'il était soulagé - hum.. De quoi, si je puis me permettre ? - et de l'autre, il paraissait ... Amical.

-"Comment tu te nommes ? Je me nomme pour ma part, Sanzo… Sanzo Watanabe ! Enchanté !

Sanzo... je n'avais encore jamais entendu ce nom, mais il était très beau... Je levai les yeux vers l'homme assis en face de moi, qui me regardais, le sourire aux lèvres. Même si, je l'avoue, je ne savais pas trop quoi faire. D'habitude, je ne me mettais pas dans un état pareil dès l'après-midi. Quoique le fait de m'être trompée de chambre m'avait largement dessaoulée, je vous jure. Quelle idée, aussi, d'aller en discothèque à cette heure-ci ? Enfin, il fallait que j'arrête de m'énerver contre moi-même, ça ne servait absolument à rien.

-Humm, tu peux t’installer tu sais… Je sais qu’il n’y a presque rien, mais tu peux t’asseoir sur cette chaise ou le lit, ça ne me dérange pas.

Dire que j'était tellement gênée que j'en avais oublié de me présenter.. Mas où avais-je la tête, bon sang ?

-Oh, oui, c'est gentil, merci... Au fait, moi c'est Leiko. Leiko Miura, fis-je avec un petit sourire avant de m'installer pour le moins confortablement sur le lit.

Ces chambres étaient très cocoon lorsqu'on y vivait seul, mais dès que l'on recevait une seule personne, on se sentait déjà à l'étroit. M'enfin bref.
Il retourna sur la chaise de bureau, puis se mit à faire tourner ses clés autour de son index d'un air un peu menaçant, mais attachant tout de même. je souris.

-J'espère que vous ne m'enfermerez pas avec ces clés !

J'avais pris une voix enjouée, mais au fond, je n'étais tout de même pas très à l'aise. Quoi que, sous ses airs de bad boy, Sanzo n'avait pas l'air mauvais, juste taquin.

Je continuais de regarder cette fille dans les yeux avant de sourire, Leiko ? C’était un beau prénom… Elle était venue s’installé sur le lit. Je la regardais et ricanais quand elle me disait qu’elle n’espérait pas que je l’enferme avec mes clés. Je fis un large sourire avant de la regarder dans les yeux avec insistance. J’avais appris à ne jamais détourner mon regard des yeux de l’interlocuteur, donc d’instinct je la fixais droit dans les yeux. Je fermais les yeux histoire de lâcher mon regard du sien et dit d’une voix sympathique :

- Ce ne sont pas les clés de la chambre, mais mes clés de moto. Je t’aurais bien emmené faire un tour, mais pas maintenant… Plus tard, bien sûr si tu le souhaite !

Je souriais encore, ne sachant plus quoi faire d’autre, on était dans une chambre étroite, il y avait juste une TV, mais je ne savais pas ce qu’il passait comme émission sur ce monde donc je m’abstenais de l’allumer. Je me relevais de la chaise que j’avais pour aller vers le tiroir où j’avais rangé mes deux .55 pour sortir cette fois, les clés de la chambre et fermer la porte à clés avant de m’asseoir à côté de Leiko et lui chuchoter à l’oreille :

- Maintenant, nous sommes enfermés, je peux faire ce que je veux de toi.

Sur le coup, j’explosais de rire, j’espérais ne pas lui avoir fait peur avec cette blague de mauvais goût, mais bon. Il fallait bien détendre cette atmosphère vide et ce monde ennuyant quand on a pas d’amis. Quelques secondes plus tard, on pouvait entendre quelqu’un griffer la porte… Genko surement, mais bon je fis comme si de rien n’était et fis signe à Leiko d’en faire autant. Je regardais Leiko de haut en bas, elle était belle, mais je ne savais pas vraiment quoi faire pour attirer son attention. Sur le moment j’eu un petit sourire et passa mon bras autour de son cou pour l’enlacer contre moi sans aucune raison. Je la resserrais contre moi tandis que mes lèvres se posaient sur sa délicieuse et douce joue avant de glisser vers son oreille pour lui chuchoter d’une voix sensuelle :

- A ton avis, le fait que la porte soit fermée à clés, qu’on soit tous les deux sur un lit, te donne des idées ?

A par faire ça, je ne voyais pas quoi faire d’autre… J’allais m’amuser avec elle et voir jusqu’où on peut aller avec ce petit jeu, qui est un peu « coquin » on va dire. Je suis assez gêné de ce genre de chose en général, mais pas maintenant… Peut-être la gêne de la fille m’aide à ne pas être gêné ! C’était complètement absurde, mais je crois bien que c’était cela ! Je parsemais de léger baiser l’oreille de la fille avant de lui mordre le lob en attendant une réaction de la part de celle-ci en ricanant.

Tout en continuant de me regarder dans les yeux, il ricana et me fis un large sourire, me scrutant avec insistance. Inconsciemment, je me réfugiai encore plus profondément dans le lit, plus par réflexe que par peur. je lui rendis son regard, osant enfin le regarder dans les yeux moi aussi. En plus,je n'avais pas envie de passer pour une froussarde - ce que je n'étais pas, je m'étais juste laissée dépasser par les évènements. Me lâchant du regard un bref instant, il me dit que "Ce ne sont pas les clés de la chambre, mais mes clés de moto. Je t’aurais bien emmené faire un tour, mais pas maintenant… Plus tard, bien sûr si tu le souhaite !"
Quoi ?! Il avait une moto ? Moi qui avait toujours rêvé de partir en escapade.. Mais le permis coûtait affreusement cher, sans compter l'équipement et tout le toutim...
Je ne dis rien, laissant mes yeux, qui devaient pétiller, comme à chaque fois qu'on me parlait de bécanes, puis le silence s'alourdit. Nous étions seuls dans une petite chambre, qui n'avait pour seul ornement qu'un télévision, remplie d'émissions...Pourries. Enfin, je n'avais jamais vraiment été fan de la télévision. Je me perdis dans mes pensées, avant d'en sortir en percevant un mouvement dans la chambre.

Sanzo s'était levé, prenant ses clés - celles de la chambre, cette fois-ci - et avait décidé de suivre l'idée, que j'avais malencontreusement insinuée en lui, de nous enfermer. Après nous avoir enfermés, il s'approcha de moi, un petit sourire narquois aux lèvres "Maintenant, nous sommes enfermés, je peux faire ce que je veux de toi."... cette phrase m'emplit de frissons, que je ne sus contrôler, alors qu'il éclatait de rire, visiblement satisfait de son petit effet, me faisant sourire moi aussi.
j'entendis un crissement sur la porte, et je me crispai, ne sachant pas ce qui se cachait de l'autre côté de la chambre. Sanzo se rapprocha sensiblement de moi, m'ayant rejoint sur le lit. Il m'observa d'un regard intense, qui me fit frémit aussi, décidément, c'était mon jour... En plus, ce n'était pas comme s'il faisait froid, surtout dans une chambre aussi petite.

Il approcha ses belles lèvres des miennes, me murmurant doucement au creux de l'oreille "[i]A ton avis, le fait que la porte soit fermée à clés, qu’on soit tous les deux sur un lit, te donne des idées ?"
En fait, le simple fait de me retrouver dans la chambre d'un - homme - inconnu m'avait donné pas mal d'idées, et je souris en m'abandonnant aux baisers qu'il me fit sur le lobe de l'oreille, endroit assez sensible chez moi.
J'attendis patiemment qu'il finisse, et me retournai .

-En fait, c'est vrai que vu sous cet angle, ça donne pas mal d'idées... dis-je d'un ton un peu rauque et pour le moins... Suggestif.

Sur cette phrase, je souris et me retournai face à lui, m'approchant doucement de ses lèvres, passant mes mains autour de son cou.

-Et toi... Mh, ca te donne quoi, comme genre d'idée ? Terminai-je avec un petit sourire en coin.

J'attendis sa réaction, enfin... je n'attendais pas vraiment de réponses, plutôt un... Un geste significatif, on va dire...

Je souriais légèrement, elle semblait avoir des perles dans les yeux quand je lui avais dit que j’avais une moto… C’était drôle à voir ! Je continuais de sourire quand j’avais vu que mon tour avec la clé l’avait sourire elle aussi… Quand je l’embrassais à l’oreille, elle semblait aimer ça et se retourna pour me présenter ses douces lèvres en me demandant si cela me donnait des idées.

Sur le moment, je l’embrassais avec une passion non dissimulé pour lui montrer le genre d’idée qui me passait par l’esprit en ce moment, laissant ma langue partir dans un grand bal avec la sienne tout en plaçant mes mains sur ses fesses pour les masser avec tendresse. Je rompais le baiser si langoureux avec Leiko avant de descendre mes lèvres vers son cou pour le suçoter avec envie, léchant son cou si délicieux malgré le fait que je ne sois pas un vampire !

Ma main se déplaçait pour aller caresser sa joue et mon autre main se plaçait sur sa cuisse pour la masser lentement et sensuellement. Je ne savais pas si c’était bien, mais sur le moment je m’en fichais littéralement et continuais mes caresse en relâchant le cou de Leiko et lui dire d’une voix sensuelle au creux de l’oreille :

- Je vais te montrer toutes les idées que ça me donne…

Sans lui donner une occasion de répondre, ma main se faufilait sous son haut pour le retiré d’une extrême habilité et redescendre vers le bas de son ventre pour aller attraper le bas et le sous-vêtement de celle-ci du bout des doigts et sourire. Elle avait encore son soutien-gorge et je souriais à l’idée de lui enlever ce tissu pour aller poser mes lèvres sur son téton qui je l’espérais, serait dur d’excitation.

Ma main libre passait dans le dos de la fille pour lui dégrafé ce bout de tissu et le faire voler au-dessus des bras de Leiko, toujours avec le même sourire je posais ma tête sur la poitrine de Leiko sans appuyé dessus et donner un petit coup de langue sur le téton de celle-ci en souriant. Ma main qui occupait le bas et le sous-vêtement de la jeune fille passait à présent sous le sous-vêtement pour aller caresser lentement son intimité.

Ma bouche se plaçait sur le téton de celle-ci pour le laper avec avidité, tournant autour du téton rose de la belle blonde. Mes mouvements de langue devenaient de plus en plus rapides, après tout, c’était si bon de lui laper le téton ! Ma main qui s’occupait de l’intimité chaude de Leiko commençait de lent mouvement de haut en bas en appuyant tendrement sur le clitoris de celle-ci.

Je donnais un long coup de langue sur son téton avant de redresser mon visage au niveau du sien en souriant, je déposais un tendre baiser sur ses lèvres en continuant mes mouvements de ma main, appuyant un peu plus à chaque fois sur le clitoris de la fille. J’avais une assez grosse bosse au niveau de mon entre-jambe qui était assez imposante et gênante, elle ne demandait qu’à sortir après tout ! Je souriais à Leiko avant de retirer ma main de son sous-vêtement et lui enlever son bas puis son sous-vêtement, la laissant nue devant moi, qui était encore habillé avant de lui dire :

- Tu aimeras si ma langue passe à cet endroit ?

Sur ces mots dits d’un ton assez pervers, je me léchais les babines en passant mon doigt sur la fente de l’intimité de Leiko en attendant une quelconque réaction de celle-ci.

Il commença par m'embrasser passionnément, avec une fougue que j'avais rarement connue, et c'est avec volupté que j'abandonnai mes lèvres au siennes, laissant nos deux langues s'entremêles dans une danse rapide et lascive, l'enlaçant de mes mains, me rapprochant de lui presque sans m'en rendre compte, et il interrompit ce moment délicieux pour me faire frémir en m'embrassant délicatement dans le cou, avec un empressement flatteur et excitant, alors qu'il me caressait la jambe d'une main et le visage de l'autre.

-Je vais te montrer toutes les idées que ça me donne… Dit-il d'une voix sensuelle et légèrement rauque.

Je m'apprêtais à répondre, mais sa main fut plus rapide, se faufilant sous mon haut avec agilité, me dégrafant le soutien-gorge avec facilité alors qu'il souriait. De ma part, je lui passais la main dans les cheveux, l'embrassant sur le visage alors qu'il commençait doucement à embrasser ma poitrine, qui pointait sous l'excitation, je sentais que je rougissais un peu, n'ayant pas l'habitude de recevoir autant d'attentions. Je commençai à sentir son autre main, qui vint me caresser l'intimité, appuyant sur le clitoris, alors que je me cambrai pour mieux m'offrir à lui.

Il me lécha le téton un peu plus longuement, avant de relever la tête, alors que sa main accentuait son mouvement sur mon intimité, "Tu aimeras si ma langue passe à cet endroit ?" me demanda-t-il en me laissant nue devant lui, qui gardait ses vêtements. Je me sentait vulnérable, tout en entant qu'il ne me voulait pas vraiment de mal.
Dans un mouvement.... Joueur, j'approchai ma main de son entrejambe, marquée d'une bosse assez impressionnante "Mh, oui sans aucun doute...[/color]" luirépondis-je d'une voix suggestive, tandis que mes doigts se faufilaient à l'intérieur du pantalon. Je sentais sa chaleur, et enlevai doucement le morceau de tissu qui séparaient mes doigts du membre attendant visiblement une caresse.

A mon tour, je commençai un mouvement, effleurant délicatement la verge dure d'excitation, et j'embrassai doucement les lèvres de ce bel inconnu qui m'avait accueilli dans sa chambre. J'accélérai mon mouvement, sentant la respiration de Sanzo s'accélérer au fur et à mesure de ma caresse, je souris à mon tour.

Je regardais la fille avec de l’excitation dans mon regard. Elle semblait vouloir aller jusqu’au bout et posa sa main sur mon entre-jambe, ce qui provoqua un petit gémissement de plaisir. Les gémissements que je poussais étaient amplifiés quand elle commençait de douces caresses dessus. Je caressais les cheveux de la belle Leiko tandis qu’elle caresser mon sexe de ses douces mains, introduisant ma langue entre les lèvres de celle-ci pour un long baiser langoureux. Je retirai lentement la main qui m’empêchait de descendre un peu plus que ça pour aller soulever les jambes de Leiko.

Elle avait des jambes douces, je donnai un coup de langue le long d’une de ses jambes, remontant lentement jusqu’à ses cuisses pour me retrouver enfin devant son intimité. Une fois devant ce trésor, je l’admirais, le renifla légèrement pour humer cette magnifique odeur et avec beaucoup de tendresse, posa ma langue sur la fente pour donner de nombreux coups de haut en bas.

Mes bras s’enroulaient autour des jambes de Leiko pour aller lui caresser lentement les cuisses tandis que ma langue continuait ses mouvements, lâchant quelques bruits de léchouille ou autre. Je soulevais légèrement Leiko pour pouvoir donner un gros coup de langue pour l’enfoncer à l’intérieur du vagin de la jeune blonde avec envie, donnant de grand coup circulaire en passant mes mains vers ses seins pour les masser avec passion.

Je lui pinçais légèrement les tétons tout en récoltant la mouille qu’elle laissait couler de son intimité, savourant ce jus délicieux de ma langue avant de le recolté, laissant un tas dans ma bouche pour ensuite retiré ma bouche et l’ouvrir de façon à ce que Leiko voit le beau trésor que j’avais récolté avec un air coquin, j’avalai le délicieux jus avant d’articuler lentement sur un ton érotique :

- Hmm… Tu es délicieuse…

Après cette phrase, je replongeai ma tête vers l’intimité de Leiko pour encore savourer ce jus si délicieux qu’elle laissait couler, ma langue appuya longuement sur son clitoris, comme si ce bouton rose était celui qui laissait couler le jus d’amours de la blonde aux yeux rouges. Faisant le tour de ce joli bouton rose, le suçotant aussi avec envie avant de me redresser vers Leiko avec le sourire :

- Tu veux que je continue… Ou que je te laisse mener la danse un peu ?

Sur ses mots, je me retirai lentement pour aller caresser la joue de la belle blonde pour ensuite l’enlacer et la retourner, la laissant au-dessus de moi… En m’offrant totalement à cette magnifique femme qui semblait vouloir la même chose que moi. Un peu d’affection dans ses jours difficiles, je fis un large sourire et posa mes mains sur les fesses de l’humaine avant de la laisser faire ce qu’elle aimerait de mon corps.

Il enleva doucement ma main de son intimité, soulevant mes jambes, pour me lécher la cuisse d'un mouvement qui me fit légèrement gémir de plaisir, et commença à me caresser l'intimité du bout de sa langue, alors que je gémissais et lui caressais les cheveux. Ce fut encore mieux lorsqu'il enfonça légèrement sa langue en moi, pendant qu'il me caressait les seins. Je me cambrai dans un mouvement de plaisir, me sentant mouiller délicieusement.

-]Tu es délicieuse... Dit-il d'un ton qui provoqua en moi des frissons.

Me reléchant une dernière fois, il releva la tête, une lueur d'excitation dans les yeux qui m'alluma plus que le reste.

-Tu veux que je continue… Ou que je te laisse mener la danse un peu ?

Il me posa la question tout en me relevant, me positionnant ainsi au dessus de lui, mettant ses mains sur mes fesses.

Je m'étendis sur lui avec malice, l'embrassant doucement dans le cou, enlevant son haut pour pouvoir l'embrasser sur le torse. Je laissai ma langue se guider sur le torse magnifique de Sanzo, avant de descendre mes mains, de manière à ce qu'elles aillent enlever le pantalon du jeune homme. Je reculai ensuite, léchant doucement son torse, descendant jusqu'au bas-ventre.
Ensuite, je pris doucement son sexe entre mes lèvres, léchant doucement la verge dure d'excitation, l'englobant entièrement, puis redescendant, arrêtant presque... Avant de recommencer.

J'accélérai le mouvement, relevant par moment la tête avec malice, pour observer les réactions de Sanzo sur son visage, puis repris...

Sentant le membre de mon partenaire se dresser de plus en plus, j'arrêtai totalement ma caresse, me remis à nouveau sur lui tel un prédateur.

Je m'empalai sur lui, plaçai ses mains sur mes hanches, avant de murmurer "Tu peux faire ce que tu veux de moi, maintenant..." d'une voix rauque.

Je voulais lui laisser un peu mener la danse, je la laissais s’étendre sur moi, m’embrassant le cou, je lui caressais lentement ses longs cheveux dans un long mouvement de main. Un petit sourire aux lèvres, je l’aidais à retirer mon haut pour qu’elle puisse goûter mon torse. Je sentais ses mains retiré mon pantalon, laissant alors mon sexe dur emprisonner dans mon boxer, je gémissais légèrement en souriant, laissant Leiko faire ce qui lui plaisait, elle libéra mon sexe pour aussi-tôt le prendre en bouche ce qui me fit encore plus sourire et gémir. Ses mouvements étaient si bon !

Je donnais de légère impulsions du bassin pour m’enfoncer un peu plus dans la sublime bouche de Leiko, gémissant un peu plus que d’habitude. Je sentais la jouissance arriver, mais Leiko s’arrêta totalement avant le moment fatidique pour se poser sur moi et enfin s’empaler sur moi ce qui provoqua un gémissement de surprise, elle voulait que je fasse ce que je veux d’elle… Je la regardais dans les yeux avant de poser mes lèvres devant les siennes et dire lentement :

- Tu ne m’as même pas laissé jouir dans ta magnifique bouche, c’est méchant… Pour me venger, je jouirai dans ta « deuxième bouche ».

J’avais dis ça sur un ton assez provoquant qui déclencha un petit sourire suivi d’un léger rire, tandis que je commençais à donner des mouvements de va et viens. La paroi humide et chaude de l’intimité de Leiko entourait parfaitement mon membre devenu raide, je ne sentais plus la jouissance, mais j’allais la faire jouir à volonté ce soir, je le savais. Tandis que je soulevais ses fesses de mes mains, je donnais des coups de reins en plaquant ses fesses contre mon sexe, m’enfonçant au plus profond de son être en souriant, allant l’embrasser lentement :

- C’est bon… Leiko, c’est si bon ! Je vais te faire jouir tant de fois !

Il me regarda dans les yeux et me dit d'un ton assez provoquant qu'il jouirait dans ma "deuxième bouche", pour se venger, ce qui me fit rire, puis j'arrêtai mon petit rire lorsque je le sentis faire des mouvements de va-et-viens en moi, me faisant frissonner de plaisir. Je gémis un petit peu alors que je sentais que je recommençais à laisser un jus de plaisir se former dans mon intimité.

Il me prit par les fesses, me soulevant un peu, avant de me plaquer contre son sexe, il s'enfonça au plus profond de moi dans un mouvement de rein qui me fit crier de plaisir. Il m'embrassa et je laissai ma langue exécuter une danse sensuelle et rapide avec la sienne, c'était si bon...

Il me dit qu'il allait me faire jouir plusieurs fois, et je le croyais sans hésiter. Lorsque je le sentis éjaculer en moi, je me laissai tomber sur le côté alors qu'il se retirait, le regardant avec une lueur au fond des yeux.

-C'était...Délicieux, Sanzo, dis-je avec un ton rauque de fatigue et de plaisir.

Je l'embrassai à nouveau, puis, enlaçant mes jambes autour des siennes, je le fis se positionner au-dessus de moi et le regardai avec un petit sourire en coin, une lueur d'excitation dans les yeux.

-On continue ?

J'avais posé la question d'une voix assez sensuelle, et j'étais pressée de connaître sa réponse. J'avais envie de passer une nuit de plaisir, sans forcément rester le lendemain au petit-déjeuner. Je l'embrassai une nouvelle fois avec fougue, j'avais faim de sentir une nouvelle fois son sexe en moi, de le sentir me caresser. je déplaçai ma bouche, m'approchant de son cou, que j'allai mordiller un peu. Je n'étais qu'une humaine, mais je sentais bien qu'il avait bon gout, je le léchai doucement, avant de le mordiller dans un geste joueur.

Je continuais mes va et viens, accélérant de plus en plus, sentant une première jouissance arriver assez vite à cause du fait que je n’avais pas pu éjaculé dans sa bouche, certes, dans un long gémissement, j’ai éjaculé dans son vagin, mouillé par ma semence et son jus d’excitation. Je la laissais s’écrouler à côté de moi, je souriais à sa phrase, pourtant, c’était que le début… Puis a nouveau, ma langue enlaçait la sienne, l’embrassant avec passion, limite avec amour avant de le rompre. Je sentais ses jambes douces passer autour de mes hanches et me laissait guider au-dessus pour la regarder dans les yeux, sachant ce qu’elle voulait vu l’excitation de son regard, je la laissais me mordiller tandis que mon sexe frottait l’intimité mouillé de l’humaine. Je fis un petit sourire avant de dire d’une voix sensuelle près de son oreille :

- Bien sûr qu’on va continuer…

Mon sexe se lubrifiait et après quelques secondes, je décidai de faire passer mon sexe à l’entrée de son anus en souriant, je ne savais pas si elle l’avait déjà fait par-là ou pas, mais bon, je décidai d’y aller doucement et m’enfonçait lentement en elle. Tandis que mon avant-bras était gauche était plaqué sur la droite de l’humaine, me laissant l’occasion de lui caresser les cheveux de la main, et mon autre main s’occupait d’une des jambes de celle-ci, caressant à certains moments les chevilles de celle-ci derrière mon dos. Tandis que je m’enfonçais de plus en plus, je sentais un plaisir immense monté, son anus était si bon ! Je ne pouvais plus stopper mes hanches tandis que mes mouvements s’accéléraient légèrement, essayant tout de même d’être relativement doux avec elle.

- Tu aimes ?

J'adorai entendre sa voix qui me promettait la découverte de nouvelles choses... Il m'assura que c'était évident qu'on allait continuer, et continuait de se frotter à moi, avant de se décaler légèrement et de pénétrer mon anus.. Je ne pus retenir un gémissement de douleur, c'était la première fois qu'un être de sexe masculin pénétrait cette partie de mon intimité, le moins qu'on pusse dire était que je n'avais jamais ressenti pareille sensation de douleur et de plaisir mêlés...
Je sentais qu'il était relativement doux, et je savais qu'il pouvait être beaucoup plus brutal que cela... Ça se sentait dans ses gestes et ... Dans sa manière d'accélérer le mouvement... Il n'accélérait pas pour me faire mal, mais parce qu'il ne savait plus se retenir, c'était presque jouissif pour moi de savoir que je pouvais procurer autant de plaisir à un homme.
Mon corps s'accordait aux impulsions données par les coups de bassins de plus en plus rapides du démon, je ne savais me retenir et répondis en haletant à la question posée par la voix douce de Sanzo.

-Oh oui, j'aime ça...

J'avais envie de lui dire que je l'aimais, mais c'était tôt, beaucoup trop tôt, pour affirmer une chose pareille.. Après tout, je ne le connaissais que depuis le matin même, je ne pouvais donc rien dire...

Je continuais mes mouvements dans la deuxième intimité de Leiko, profitant au maximum du plaisir procuré par les va et viens. Je voyais que ses mouvements suivait les miens, avec un petit sourire, je caressais les fesses de l’humaine. Ses mouvements étaient si bons ! Mes mains remontaient vers ses bras, lui caressant le dos par la même occasion. Elle avait l’air d’aimer ça, tant mieux, moi aussi. Je la soulevais légèrement en soupirant de plus en plus, le plaisir augmentait et je sentais la jouissance arriver à grand pas !

- Ohh ! C’est si bon !

Je voulais jouir, mais je voulais continuer, donc je me retenais à tout prix. Je passais ma main sur sa nuque, lui caressant la joue légèrement en gémissant de plus en plus. Je roulais légèrement pour la ramener en bas, accélérant mes mouvements sans m’en rendre compte. Mon membre durcissait, montrant le signe d’une jouissance rapide et extrême.

- Je vais bientôt jouir Leiko !

Je prenais vraiment mon pied avec elle, je ne savais pas ce qu’allait être la suite, si j’allais sortir avec elle, après tout, je n’appartiens à ce monde dans un sens… Je ne sais pas si je resterai ici toute ma vie ? Peut-être… Mais là, je ne pensais à rien d’autre que de lui donner du plaisir, ça avait l’air d’être sa première fois par cet endroit après tout ! Je me devais de lui donner une telle vague de plaisir qu’elle pourrait plus marcher pendant quelques jours, ça serait drôle.