Le méchant loup et la petite fée [Misuki]

Soirée chiante pour Mazato, il était revenu dans sa chambre et personne n’était la… Cette lycan qui était avec lui était très spéciale. Il ne l’aimait pas particulièrement, elle fumait et ne comptais que sur ça. Pour lui, fumer en étant lycan est synonyme de défaite et de trahison envers la race des lycanthropes. Il retira ses vêtements pour se retrouver en caleçon en soupirant avant de s’allonger contre son lit et regarder le plafond d’un air blasé et marmonner lentement :

- Pff… J’avais tant de larbine pour faire les tâches ingrates avant…

Il se releva et regardait le bordel de sa chambre… Cette Lou ne rangeait pas vraiment et lui non plus… Il allait certainement demander à changer de chambre, car la c’était abusé pour le lycan. Un lycan comme Mazato, c’est normal à gérer, mais deux c’est impossible ! Il fit un petit sourire avant de regarder le côté de Mazato qui était remplis d’affaire et de sous-vêtement, tel que ses caleçons etc… D’un coup il s’allongea et fit mine de dormir quelques instants, histoire de se reposer un minimum.

Je venais d'arriver ici, cette endroit était un peu étrange mais j'avais l'habitude a force. On m'avait donné une chambre sauf que, avec mon sens de l'orientation légendaire je ne risquais pas de la trouver, du coup je chercher un peu partout. J'arrivais devant une porte et décidais de l'ouvrir. J'ouvrit donc. Sauf que, la seul chose que je vu se fut un homme se déshabiller et s'allonger sur son lit. Mon coeur a dut s’arrêter environ 5 seconde. Ce n'est qu'après que je pris conscience de ce qu'il y avait devant moi. J'était statufié, et je devenais de plus en plus rouge. Bref j'avais la honte. Je crois que je suis rester planté au pied de la porte assez longtemps. Quand je recommencer a bouger, j'articulai le mot que je prononçais le plus.

-Pardon! Je m'inclinai et commencer a fermer la porte.

Le lycan entendit ce qui semblait vouloir dire « Pardon » et se releva immédiatement de son lit, sa mini-sieste l’avait empêché d’entendre le bruit de la porte qui venait de s’ouvrir et il soupira de rage contre la personne… D’un simple geste, il se mit débout et s’avança vers la fille et quand elle ferma la porte, il poussa sa main entre la porte pour l’ouvrir grandement et prendre la fille par le col pour la projeter contre son lit avant de fermer la porte :

- Qui a dit que je te pardonnais ?

Bien sûr, déranger le sommeil du lycan était un pêché grave…. Elle allait surement en subir les frais. Il avança vers elle et se posa debout devant elle avant de faire craquer ses doigts et sortir ses crocs :

- Quand on dit « Pardon », on s’excuse convenablement… Alors excuse-toi comme il se doit et présente toi, complètement, nom, âge, race, raison de ta venue.

D’un simple mouvement après cette phrase, il sortit ses griffes avant de regarder la petite fille devant lui avec un sourire narquois tracé au visage.

Je tournais le dos a la porte, prête a partir en courant, quand tout a coup elle sentit quelque chose agripper mon col. Ça coupa ma respiration, la personne me balança sur le lit en m'ordonnant de dire mon prénom, mon âge, ma race et pourquoi j'était ici. Intimider par sa taille, je ne put retenir mes larmes. Il me faisait peur, en plus il avait des crocs des griffes et tout! J'avais tellement peur je n'osais pas regardai la personne. Je fermer les yeux très fort en me disant que c'était un rêve. Je me suis dit que plus tôt je lui répondrai plus tôt il me laisserai sortir de cet enfer.

Misuki Arai, 15 ans je suis une fée. Je suis nouvelle et je cherchai juste ma chambre.

Mes paroles était entrecoupé de hoquet, car j'avais déjà trop pleurer. J'avais la peur de ma vie

Elle pleurait… Elle était aussi faible que ça ? Une fée ? Le lycan haussait les sourcils en soupirant… Eh bien. Il retira ses griffes et fit un faible sourire avant de passer son doigt sur les larmes de la fée, il savait qu’elle avait peur, il aimait ça. Il aimait savoir que la personne avait peur de lui. Il ramena son doigt à sa bouche pour goûter les larmes de la fée en fermant les yeux. Après l’avoir fait, il fronça les sourcils et regarda la fée un peu plus « férocement » avant de s’accroupir à sa taille et chuchoter lentement :

- Je te signale que tu ne t’es pas excusé « convenablement ». Tu tiens tant à mourir ? Ce serait dommage pour toi de mourir aussi bêtement.

Le sourire narquois du lycan se faisait de plus en plus sentir et il se releva pour regarder la fée de haut en attendant qu’elle daigne s’excuser. Il donna un faible coup de pied au postérieur de la fée en ricanant avant de se lécher les babines et les crocs. Il attendait qu’une chose et avait certainement eut l’idée de faire de cette petite fée sa larbine personnelle.

Il demanda des excuses et me donna un coup de pied au fesse, je me mis sur les genou pour me les frotter. Il m'avait fait mal, et je pleurai encore plus, mais en silence cette fois si. Pourquoi je devais m'excuser alors que c'est lui qui me faisait mal, il s'était relevé et me regardai de haut maintenant. Je levai la tête vers l'homme, toujours en larmes. Je chuchotai un pardon en baissant la tête, espérant que sa suffirai. Je n'avais actuellement pas envie de me forcer, je n'en avais pas la force non plus. Je me rassi sur les fesses en attendant sa réaction. Je tortillais les doigts, stresser et surtout effrayé. De plus en plus, cet homme avait l'air d'être un tyran, et quelque chose me dit que j'avais raison.

Le lycan soupira à la vue de cette faiblarde, ce coup lui avait fait mal ? Il n’en revenait pas… Il avait à peine poussé avec son pied. Quand elle s’excusa, il soupira, elle pleurait toujours autant, c’était presque énervant pour le lycan pourtant, il adorait les gens qui pleuraient devant lui. Il fit quelques mouvements des doigts avant de prendre la fée par la mâchoire et la plaquer contre le lit, sortant à nouveau ses griffes et ses crocs pour les planter à côté de la fée en souriant… Ses crocs se penchaient vers l’épaule de la fée avant qu’il n’articule lentement :

- Maintenant je vais te faire mourir, lentement. A moins que tu n’es quelque chose à dire ou offrir ?

D’un simple mouvement, ses crocs se posèrent sur son épaule sans pour autant forcer, attendant simplement une petite réaction de la part de cette fée qui semblait peureuse, sans aucun sens de l’orientation et pleurnicharde à souhait. Il allait se régalé avec une fille comme ça, en plus les fées sont sucrés à ce qu’il paraît.

J'allait me faire bouffer, je savais plus quoi faire. Vendre mon corps? C'est pas une jeune fille de 15ans qui intéresserait. Plus de 10 000 idées défilèrent dans ma tête, toute plus absurdes les unes que les autres. Je sentait ses crocs sur mon épaule. C'était pointu. J'essayai de le repousser mais il ne bouger même pas d'un nano mètre. Je ne pouvait pas bouger ses petites ailes. En plus il me plaquai la machoire ce qui empechai n'importe quel mouvement, dans un geste désesperé je proposai ce que je savais le mieux faire. La soumise.

Je ferai ce que tu voudra mais lache moi je t'en suplis

Le lycan aurait très bien pu ignorer cette fée qui l’implorait de lui laisser la vie sauve en échange de ce qu’il voudrait et la tuer d’une pression de ses crocs sur la gorge de cette fille qui ne dépassait pas les 1m65. Mais. Le fait qu’elle lui propose ce qu’il voulait justement ce soir-là était, une chance pour elle ? Il planta d’un coup ses crocs sur son épaule. Il s’en fichait de lui faire mal, la trace des dents et crocs de Mazato allait surement rester plus d’un mois. Pour lui, ça signifiait qu’elle allait lui appartenir pendant un mois entier, bien sûr, c’est renouvelable. Les « esclaves » de Mazato priaient pour qu’il leur refasse une morsure à l’épaule, car quand il ne la refait pas, la personne est certaine de mourir. Car oui, Mazato tue les gens « inutiles » à ses yeux. Une fois le goût du sang de la fée imprégné dans sa bouche, il retira sa bouche avant de faire rouler le sang dans sa bouche grâce à sa langue et le recraché d’un trait, par terre ? Bien sûr que oui. Il avait fermé les volets, on ne pouvait voir que les yeux écarlates du lycan qui brillait dans la nuit, ces yeux qui terrorisait plus d’une personne en général. Bref, il se releva et regarda la fée dans les yeux avant de lui dire d’un ton autoritaire :

- Tu m’appartiens maintenant. Ose me désobéir, tu sais ce qui t’arriveras par la suite. Par contre, si tu es sage et obéissante, j’accepterai de te garder plus longtemps. Bref, maintenant je vais réfléchir à ce que je pourrai te demander de faire ici maintenant et tout de suite… Je vais faire un acte de gentillesse, j’vais te demander ton avis Masoki… Masuko… C’est quoi ton prénom déjà ? Qu’aimerais-tu faire en ce moment à part d’aller te réfugier dans les jupons de ta mère ?

Mémoire de poisson rouge ? Pas du tout, le lycan faisait ça exprès… Il soupira une dernière fois avant de regarder par la fenêtre fermer par les volets et reposa son regard sur la fée en attendant une réaction de celle-ci. Il fit un petit sourire avant d'ajouter une dernière chose :

- De toute façon, étant mon esclave à présent... Tu as ma protection, c'est bizarre hein ? Soit-heureuse de l'avoir, tu es sure de ne pas te faire bouffer par n'importe qu'elle créature nuisible de ce pensionnat.

Je n'avais pas trop écouter ce qu'il venait de dire, il m'avait fait saigner... Je fixait mon épaule en regardant le sang dégouliner le long de mon bras. Des traces de dents sur mon épaule... Les seuls mot qu'il avait prononcer et que j'avais compris était esclave, ma protection et te faire bouffer. J'avais les yeux écarquiller, toujours en train de fixer mon épaule. J'avais compris autre chose aussi, il m'avait demandé ce que je voulait faire. Fuir? Récupérer ma liberté? Ne pas me faire tuer? Il ne se souvenait plus de mon nom. Après tout je suis née créature insignifiante et je mourrais comme tel, d'ailleurs ma mort sera surement a cause de cette homme. Je décidai de répondre a sa question. Qui sais? Peut-être qu'il me laisserai chercher ma chambre se soir? Je le regardai droit dans les yeux , j'avais arrêter de pleurer.

Misuki, je voudrai soigner ma blessure s'il vous plait.

Un long soupire sortit de la bouche du lycan avant qu’il ne regarde la fée dans les yeux, ses pleures avaient cessés, mais elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait apparemment au niveau de la blessure, il s’asseyait simplement à côté et s’allongea sur son lit en soupirant :

- Ça arrêtera de saigner tout seul, tu garderas une cicatrice pendant un mois, si tu m’es utile, je te referai la même chose, sinon je te tuerai.

Voilà, ça c’était fait aux yeux du lycan, pas la peine d’en parler plus que ça… Si elle n’avait pas écouté, il allait simplement la tuer ici et maintenant pour ne pas avoir écouté son nouveau maître, les fées ne faisaient pas parler d’elles dans le pensionnat, c’était bizarre… Elles devaient être douées pour jouer à cache-cache. Le lycan s’allongea complètement sur son lit, il était encore en caleçon, il s’en fichait apparemment et soupira lentement :

- Trouve quelque chose d’amusant à faire, mon cerveau marche mal dès qu’il est 23h passé…

C'est a ce moment la que je pensa je préférais mourir. Je n'avais même pas le droit de me soigner, il fallait juste que j'attende que sa coagule, je me relevai et essuyais un peu le sang avec mes mains. Lui il était allongé sur le lit, toujours en caleçon. Vraiment j'aurai du me taire. Mourir aurait était mieux, de toute façon je ne savais pas faire les taches ménagères, au bout des un mois je mourrait surement. Peut-être même avant. Si il chercher une esclaves efficaces il se tromper de personne. Il m'ordonna de faire quelque chose d'amusant a faire. Il avait qu'a dormir! Je tournais en rond dans la chambre faisant bouger légèrement mes ailes, elles me faisaient mal. Ma langue me démanger de lui dire de se trouver quelqu'un d'autre. Mais je n'avais pas la force de me battre, j'était faible.

Vous voulez dormir?

Le lycan pouffa de rire à la question de la petite fée et il se pencha sur le côté, laissant son dos marqué du sceau qu’il avait depuis tout petit à découvert, visible aux yeux de la fée, il se gratta légèrement l’arrière du crâne avant de soupirer et dire :

- Chez les lycans, la journée commence à 00h00, je vais sortir bientôt.

Le lycan baillait, car il n’avait pas dormi pendant qu’il faisait encore jour, mais il n’avait pas envie de dormir, il voulait aller au fast-food du coin pour s’acheter de la bouffe, il n’avait rien mangé ce soir… D’un mouvement, son bras se leva en direction d’une lampe qui était posé sur la table de nuit pour allumer une faible lumière et pointer du doigt un long manteau parsemé de fourrure vers la capuche qui donnait un look bestial à ce manteau. Il pointait ce manteau et articula lentement :

- Poche de droite, le portefeuille.

Car oui, le lycan n’aimait pas user de sa force pour n’importe quoi, de toute façon, il pouvait avoir de l’argent en veut-tu en voilà, donc bon… Pour lui l’argent n’avait aucune valeur et il le montrait assez bien.

Le tyran explosa de rire, je me demandais pourquoi jusqu’à temps qu'il me dise que sa journée commencer a 0h00 . Il m'ordonna d'allez chercher son portefeuille dans son manteau. Je fixai son dos, un tatouage? Je ne put m’empêcher de m'approcher et de l'effleurer, ce n'est qu'après, en me rendant compte de ce que je venais de faire que je reculai en courant et me plaquer contre le mur, il allait peut être pas apprécié que je le touche. Je recommençai a bouger et me dirigeai vers son portefeuille et lui tendit.

Excusez moi, je ne voulais pas vous touchez. Je n'ai pas pu m'en empêcher. J’espère que vous ne m'en voudrez pas.

Le lycan commençait à être plonger dans ses souvenirs, se demander si venir dans ce monde était une bonne chose… Avant de frissonner en sentant quelque chose lui efflorer le dos, il savait que c’était Misuki qui venait de toucher son tatouage qui venait de se liquidifié… Bref, il se retourna et regardait la fée qui lui tendait le portefeuille qu’il prit en main pour vérifier s’il avait assez d’argent et roula des yeux avant de demander à la fée :

- Tu aimes bien manger des vampires ?

Bien sûr qu’il n’allait pas payer un vampire pour le manger, mais ses projets étaient assez complexe à interpréter à cause de son comportement capricieux envers le monde… Il se mit à regarder aux alentours de la chambre avant d’éteindre à nouveau la lampe, les plongeants à nouveau dans l’obscurité…

- Si tu tiens tant à toucher ce tatouage, fais-le, mais dans le noir.

Manger des vampires? Question étrange, je ne manger pas de viande de créature ou d'humain. Il me dit ensuite que je peut toucher son tatouage mais seulement dans le noir puis il éteignit la lumière. J'hésitai un peu en m'approchant doucement de son dos, je me mis a genou et continuer a effleurer son tatouage, il avait la peau douce et étonnamment je me mis a rougir. J'aimais bien le toucher a cette endroit.

Je ne mange pas de créature, seulement de la viande animal. Vous en mangez vous?

La fée continuait de toucher le dos du lycan, lui restait là, sans rien dire à attendre que le temps passe pour qu’il puisse enfin sortir sans croiser d’humain ou autre… Bien sûr, il croisera des vampires, certainement. Mais les vampires n’étaient plus un problème pour lui, ils fuyaient presque tous en le voyant, après tout, ils arrivaient à sentir l’odeur de leurs congénères mort en essayant de lutter contre le lycan. Il lança son portefeuille en l’air et soupira :

- Non, ça me répugne, je les mange seulement pour faire d’eux mes « trophées »…

Il se demanda quelques secondes à ce qu’il allait faire en sortant… Trainer un peu n’importe où certainement… Il se retourna pour regarder la fée de ses yeux écarlates, détailler son visage à celle qui est devenue son esclave, sur un simple coup de tête du lycan.

- Tu n’es pas une créature de nuit… Tu es fatiguée ?

Moi fatiguée? Il ne connaissait pas vraiment les fées, ça se voyait. Je ne put m'empêcher de rigoler. Non pas pour me moquer, juste parce que je trouvais sa amusant. Il avait les yeux rouges écarlate, je les fixait. J'était un peu jalouse de ses yeux exceptionnelles alors que les miens était banal. Ils ne brillaient pas. Je continuai de faire battre mes ailes laissant mon esprit ce distraire, je me souviens que je n'avais toujours pas trouver ma chambre. Il était trop tard a présent, je la chercherai demain. Je lâchait un soupire d'exaspération, quel plaie, je vais encore devoir dormir dehors. Je pris conscience que je n'avais pas répondu a cette homme.

Vous ne connaissez quasiment rien des fées a ce que je vois. Nous ne sommes pas obliger de dormir, nous ressentons la fatigue mais très peu, a part moi qui ressemble plus a une humaine qu'a une fée, mis a part mes ailes. Merci de vous inquiétez mais je n'ai pas encore envie de dormir.

Elle rigola quelques secondes, apparemment le lycan ne connaissait rien aux fées, c’est vrai. La seule chose qu’il connaissait, c’était leurs goûts. Il fit craquer ses doigts en la regardant sans rien dire. Ce n’était pas moqueur, mais bon. Le lycan lâcha un soupire en bougeant légèrement la tête en signe de mécontentement et regarda la fée qui semblait exaspéré. Le téléphone portable du lycan sonna, il n’avait pas encore changé sa puce et plongea son regard sur le portable qui indiquait 00h00… Il se releva et pris simplement un jean noir et un t-shirt de la même couleur pour l’enfiler. Il mit son manteau et des mitaines en cuir pour enfin reposer son regard vers la fée. Sa main se déposa sur les cheveux de celle-ci quelques secondes pour faire quelques mouvements qui ressemblait plus ou moins à des caresses, malgré que les mitaines gâchaient un peu ce moment. Il prit la direction de la porte et dit d’une voix neutre :

- Je vais sortir, si tu veux, tu peux me suivre. Bien que je ne crois pas que mes occupations soit aussi amusante pour moi que pour toi, sinon, tu peux dormir sur mon lit… Je reviendrai d’ici une ou deux heures. Ferme derrière-moi si tu ne veux pas venir.

Sur ses mots, il ouvrit simplement la porte et marcha en direction de la sortie du pensionnat en silence.

Il m'invita a venir sortir avec lui ou de rester ici. Mon cerveau me criait de rester ici et de m'enfuir. Mais moi je pensais autrement.Il me caressa la tête et je fis définitivement mon choix. J'était curieuse de connaître les habitudes de cet homme. Après tout j'allais devoir lui appartenir, autant le connaître. Je me relevais doucement et marcha vers lui. Il faisait au moins 2 tête de plus que moi, effrayant... Je baissai la tête et regardai mes chaussures. Je le suivais en marchant et lui agrippa le manteau.

Je vais devoir vous obéir pendant un certain temps, autant que je vous connaisse un minimum. Non?

Alors qu’il s’apprêtait à partir, le lycan sentit une légère force s’aggriper à lui, il se retourna et regarda la fée avant de faire un petit sourire. Il se retourna et ferma la porte à clé pour ensuite continuer son chemin… Il ne savait pas trop quoi lui dire, mais il se dirigea vers la sortie du pensionnat et une fois la bas, il articula lentement :

- Tu as l’estomac bien accroché ?

Il posait cette question , car il savait qu’il y allait y avoir des courses poursuites et qu’il allait finir par la porter pour éviter de la laisser en plan, mais bon, c’était la vie. Il se gratta légèrement le crâne avant de sourire en voyant qu’un groupe d’ange vu leur odeur, sortaient eux aussi du pensionnat… Il regarda la fée et lui chuchota lentement en la soulevant pour la mettre sur son dos :

- Voila nos premiers trophées, t’es la première que j’ramène à la chasse.

Il souriait, je rougissais. J'aimais bien son sourire. Il avait l'air plus gentil. Il me demanda si j'avais l'estomac bien accroché. Je ne compris pas trop sa question.

Je suppose que oui. Pourquoi?

Tout de suite après que j'ai finis ma phrase il me prit sur son dos et me dit qu'il allait m’amener a la chasse. WHAT??? La chasse? Chasser quoi? Ou plutôt qui? J'avais le menton sur son épaule et les sourcils froncer. Ça m’inquiéter un peu. Il allait avoir du mal a se battre avec quelqu'un sur le dos, non? Il me dit que j'était la première qu'il amenait a la chasse. Vraiment? Je décidai de laisser ça passer et juste attendre qu'il ai finis. Mais je lui proposa quand même si il préférai que je vole a coté de lui.